Thème: « Du Commando Ali Khodja à la zone autonome d’Alger : un engagement pour la patrie ».
Dans le cadre de la commémoration du soixante deuxième anniversaire des évènements du 11 décembre 1960, le laboratoire patrimoine, communication et mutations sociales organise une journée d’études intitulée « Du Commando Ali Khodja à la zone autonome d’Alger : un engagement pour la patrie ». Cette rencontre scientifique sera organisée en collaboration avec la faculté des sciences humaines et sociales, le département d’histoire et archéologie et le club scientifique d’histoire. En plus de l’hommage qui sera rendu par l’Université de Béjaia au commandant Azzedine comme signe de reconnaissance à son apport à la Guerre de libération nationale, cette journée commémorative sera l’occasion pour connaître quelques séquences de la vie de cet ancien officier de l’ALN entre 1955 et 1962. Né en 1934 à Béjaia, Zerari Rabah dit commandant Azzedine rejoint le maquis de l’Algérois (zone IV) en 1955. Arrêté en juillet 1956, après une blessure grave, il s’évade de la prison de Tablat en octobre de la même année. Désigné chef du « commando Ali Khodja », il affronte notamment les commandos noirs du général Bollardière et le 3e RPC du général Bigeard. Arrêté une deuxième fois, le 17 novembre 1958, il donne l’impression d’accepter « la paix des braves ». Il revient au maquis quelques mois après et part en Tunisie rejoindre le FLN à l’extérieur. Désigné membre du
CNRA (1959 – 1962), il occupe le poste d’adjoint du chef d’état-major général, depuis la création de cet organe au début de l’année 1960. Quelques mois avant le cessez-le-feu, le GPRA lui donne la mission de recréer la nouvelle zone autonome d’Alger pour s’opposer à l’OAS. Cette mission accomplie, il décide, quelques mois après, de quitter l’ALN et la vie
politique. Il est l’auteur de deux récits de guerre : On nous appelait Fellaghas )1976 et Alger ne brûla pas (1980)., Université Abderrahmane MIRA Bejaia, Date: le dimanche 11 décembre 2022
Conférence animée par : Rabah ZERARI, dit commandant Azzedine
Thème: « Du Commando Ali Khodja à la zone autonome d’Alger : un engagement pour la patrie ».
Dans le cadre de la commémoration du soixante deuxième anniversaire des évènements du 11 décembre 1960, le laboratoire patrimoine, communication et mutations sociales organise une journée d’études intitulée « Du Commando Ali Khodja à la zone autonome d’Alger : un engagement pour la patrie ». Cette rencontre scientifique sera organisée en collaboration avec la faculté des sciences humaines et sociales, le département d’histoire et archéologie et le club scientifique d’histoire. En plus de l’hommage qui sera rendu par l’Université de Béjaia au commandant Azzedine comme signe de reconnaissance à son apport à la Guerre de libération nationale, cette journée commémorative sera l’occasion pour connaître quelques séquences de la vie de cet ancien officier de l’ALN entre 1955 et 1962. Né en 1934 à Béjaia, Zerari Rabah dit commandant Azzedine rejoint le maquis de l’Algérois (zone IV) en 1955. Arrêté en juillet 1956, après une blessure grave, il s’évade de la prison de Tablat en octobre de la même année. Désigné chef du « commando Ali Khodja », il affronte notamment les commandos noirs du général Bollardière et le 3e RPC du général Bigeard. Arrêté une deuxième fois, le 17 novembre 1958, il donne l’impression d’accepter « la paix des braves ». Il revient au maquis quelques mois après et part en Tunisie rejoindre le FLN à l’extérieur. Désigné membre du
CNRA (1959 – 1962), il occupe le poste d’adjoint du chef d’état-major général, depuis la création de cet organe au début de l’année 1960. Quelques mois avant le cessez-le-feu, le GPRA lui donne la mission de recréer la nouvelle zone autonome d’Alger pour s’opposer à l’OAS. Cette mission accomplie, il décide, quelques mois après, de quitter l’ALN et la vie
politique. Il est l’auteur de deux récits de guerre : On nous appelait Fellaghas )1976 et Alger ne brûla pas (1980)., Université Abderrahmane MIRA Bejaia, Date: le dimanche 11 décembre 2022
Synthèse, recommendations et clôture, des journées du colloque international sur les révoltés
Titre: COLLOQUE NATIONAL Les Révoltés – Justiciers et redresseurs de torts –Et leur résistance à l’ordre colonial
Faculté des Sciences Humaines et Sociales,Université Abderrahmane Mira de Béjaïa,
Date : Mardi 21/11/2017
Débat autour, de la cinquième séance, Les révoltés, défenseurs des opprimées, dans l’imaginaire social, la musique et la mémoire populaire.
Titre: Les révoltés, défenseurs des opprimées, dans l’imaginaire social, la musique et la mémoire populaire.
Faculté des Sciences Humaines et Sociales,Université Abderrahmane Mira de Béjaïa,
Date : Mardi 21/11/2017
Conférence animée par: ZIARI Chems-eddine, Doctorant LMD, Université de Batna
Titre: نماذج من نساء خارجات عن القانون في منطقة الأوراس قبل الثورة التحريرية من خلال الرواية الشفوية والكتابات التاريخية
Faculté des Sciences Humaines et Sociales,Université Abderrahmane Mira de Béjaïa,
Date : Mardi 21/11/2017
Conférence animée par: SALHI Mezhoura, Maître de conférences, Université de Tizi Ouzou
Titre: « Les écrits de la presse coloniale à la fin du 19ème siècle à l’égard des « bandits » d’honneurs de Kabylie »
Faculté des Sciences Humaines et Sociales,Université Abderrahmane Mira de Béjaïa,
Date : Mardi 21/11/2017